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Ah, si j'avais connu Allègre et Courtillot

Publié le par Les Malaugenoux

Ah, si j'avais connu Courtillot et Allègre et si je n'avais pas écouté Gourou Gore, c'est beaucoup plus profond...

 

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que j'aurais enterré mes tuyaux,

et nous n'aurions pas eu à nous contenter de la source intérieure,

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ni à shunter le système par un tuyau d'arrosage

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dont il faut extirper les glaçons tous les matins.

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L'eau du réservoir ne se serait pas caparaçonnée de multiples couches de glace

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et il n'eût pas fallu acquérir à grands frais un cordon chauffant...

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pour essayer de faire fondre les bouchons cachésDSCN2200.jpg

et nous aurions attendu la banquise de pied ferme

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et installé notre baignoire au chaud 

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Ah, si j'avais Allègre et Courtillot connu

et point Gourou Gore bêtement cru...

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Oxymores

Publié le par Les Malaugenoux

Le réchauffement climatique tire ses langues de verre pointues partout :

 

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en fait des fleurets qui fondront,

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des colonnes brûlantes de désir contenu ;

 

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la chaleur engorge gargouilles et gouttières

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et fige les vagues de la source du tou

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en une brillante confiture qui embrasse tout

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Réchauffement climatique, ter

Publié le par Les Malaugenoux

Par moins 12, la source se met en rideau

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toute circulation se fige

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pour diffracter la faible lumière.

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Heureusement que le bon génie nucléaire, la centrale de Cruas Meysse et son petit nuage de vapeur, veille sur nous !

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25é épisode : Le veau qui tenait un pistolet.

Publié le par Les Malaugenoux

 

Résumé des épisodes précédents : Françoise et Bernard ont racheté en 1994 la ferme de l’arrière-grand-père de Bernard, à Montpoulet, Saint-Victor. Depuis la région parisienne, ils viennent d’abord y passer leurs vacances et débroussaillent. Ils retrouvent la source, une faune fabuleuse, des voisins généreux tandis que la configuration cabalistique des fondations de la ruine les fait rêver d’un trésor. Ils viennent s’installer sur place en 1997. Leur permis de construire est refusé puis accepté après plusieurs recours, et les travaux vont bon train malgré l’amateurisme de ces « néo-ruraux ». Parti à la recherche d’ossements, Bernard fait écrouler les fondations de toute une façade et dégage un squelette de veau.. (On peut lire les épisodes sur le papier de Lcho des trois clochers, 07410 Saint Victor)

 

Une patte de veau et un pistolet, donc. Mais je m’aperçois que, tout à ma hâte de vous conter le beau Douglas, j’ai oublié de vous dire pourquoi il est courbé, ni comment je l’ai apporté là, ce qu’on me demande souvent… Cependant, le lecteur préfèrera sous doute que je lui parle du pistolet. Va donc pour le pistolet !


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Une patte de veau et un pistolet. En voilà une énigme ! En voilà du suspense ! Agatha Christie se retourne dans sa tombe… Non ? Trop peu vraisemblable ? Puis-je embêter le lecteur avec une nouvelle intrusion ? Parce que finalement, tout ce que je vous raconte, c’est peut-être tout faux… Quand on raconte une histoire, le but c’est d’intéresser son auditoire, il faut donc recourir à certains artifices, dont certains sont très connus des raconteurs professionnels. Et donc, c’est bien tentant, même quand on raconte une histoire authentique, de recourir à de la fiction. Certains ne se gênent pas. Beaucoup des « aventures authentiques » montrées à la télé sont bidonnées, nombre de « documentaires » sont écrits avant qu’on aille sur le terrain et cherchent plus à défendre une thèse qu’à décrire la réalité. Peut-être qu’il n’y a jamais eu d’ossements là où je le dis, et encore moins de pistolet. On dit aussi que la fiction doit être vraisemblable alors que la réalité n’a pas besoin de l’être. Ici la réalité a la vie dure, l’argument inoxydable.

Il y avait bien un pistolet.

Mais pas là, entre les « doigts » du veau, c’est vrai, je le dis tout de suite pour me faire pardonner, mais un peu plus loin, sur le chemin vers Gompaloup, sur le chemin vers le trésor, comme si quelqu’un avait voulu le défendre. Oh, et puis, pas un pistolet récent avec cela, il n’en reste d’ailleurs que le canon et le chien ainsi qu’un ressort que je ne sais pas identifier. Tout ce qui était en bois, la crosse par exemple, a disparu. Aussi, grâce aux photos qui suivent, je vais mettre le lecteur à contribution, pour qu’il nous aide à résoudre l’énigme, notamment avec l’âge de ce pistolet, quelle époque, quelle période trouble de l’histoire qui aurait donc conduit l’ancien habitant de Montpoulet à s’armer pour aller cacher son trésor à Gompaloup ? Si le lecteur a une idée, merci d’écrire au journal.

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Revenons maintenant au beau Douglas. Un visiteur m’a décontenancé un jour en me demandant comment je l’avais « cintré ». Autrement dit, comment je l’avais courbé pour qu’il singeât ainsi la nervure d’une coque de bateau renversé, comme c’est le cas de beaucoup de charpentes de granges. L’esprit taquin, je lui répondis que j’avais dû le faire bouillir de longues heures avant de l’enrouler autour de ma cuisse.

Il est bien sûr courbé naturellement et ce n’est ni le vent ni la pente qui peuvent expliquer que de nombreux sapins, mais pas tous, soient ainsi courbés. La meilleure explication, je ne sais plus qui me l’a donnée mais je la fais mienne. Autour de leur dixième année, les arbres sont à la bonne hauteur pour que les chevreuils viennent frotter leurs nouvelles cornes contre la tige du sommet. Ils en enlèvent l’écorce et la tige verticale meurt. C’est alors une tige inférieure, horizontale, qui vient la remplacer, en se redressant mais en gardant à sa base son orientation originelle, d’où la courbure. Si le lecteur a une autre explication, merci d’écrire au journal.

Après l’avoir abattu, dans une pente à 500 m de la maison, je l’ai attelé à mon tracteur miniature et l’ai faire descendre sur 50m tant que la pente m’obligeait à me cramponner au volant pour ne pas passer par-dessus. Ensuite ila fallu l’aide de notre voisin du bas, merci Hervé, qui a réussi à faufiler son gros tracteur entre les sapins. Il a ensuite chargé le beau Douglas sur son camion, lui a fait faire le tour de la montagne pour le déposer au sommet de Montpoulet. De nouveau, j’ai attelé mon micro tracteur pour subir la même punition : je n’ai pu déplacer le tronc que sur la pente supérieure à 45 degrés. Ensuite, c’est notre voisin du haut, merci Maurice, qui a pris le relais pour traîner le tronc jusque devant la future entrée de la salle à manger. J’avais acheté un palan ; je l’ai attaché à un pan de mur que je venais de rebâtir et, en priant que le ciment fût de bonne qualité, j’ai tracté le bout de bois à l’intérieur. J’ai ensuite érigé une « chèvre » de trois petits sapins et pendant plusieurs jours j’ai alternativement soulevé le talon du tronc pour bâtir un socle en pierres, dix centimètres à la fois, et soulevé la pointe, avec le palan attaché à un autre pan de mur, pour la couper prudemment, petit à petit, pour qu’elle appuie contre le mur, ni trop haut, ni trop bas, en respectant les 30% de pente des toitures d’ici, puisque le beau Douglas était promis à un futur d’arbalétrier. Mais jusqu’au bout, jamais je n’ai été sûr d’y arriver.

 

chèvrearbalétrier

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Après, il avait fallu surélever un vieux mur pour aplanir un « chalay » (terrasse) sur le chemin vers le trésor. Et c’est alors que survint un autre de mes déboires de maçon. J’éventrai la piscine en plastique et déclenchai un tsunami aux conséquences catastrophiques. Mais il se fait tard, je vous raconterai cela la prochaine fois.

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Twenty twelve

Publié le par Les Malaugenoux

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Euh, sans les poubelles de tri, ni le Père Noël porteur de bûches :

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Odes à la chatte et à la poule

Publié le par Les Malaugenoux

Pour me faire pardonner de ceux et surtout celles que mes deux papiers sur la réalité de la condition animale a froissé(e)s, je vais rentrer dans le giron de la bien-pensance, façon calendrier des Postes,  avec ces deux odes à la poule et à la chatte, sans aucun jeu de mots.

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Notre plus vieille chatte, née dans le midi c'est à dire juste au sud du 45è parallèle, est la plus bavarde et la plus sociable. Elle miaule tant qu'on finit par la comprendre. Par exemple, lorsqu'elle rapporte une souris (parce que les chats tuent les souris, et en jouent pendant l'agonie, navré, j'ai pas plus politiquement correct), le miaulement n'est pas le même que lorsqu'elle réclame du lait (forcément, avec la souris entre les dents). C'était toujours elle à faire ses petits la première. Et à nous les faire sur les genoux. Sans doute parce qu'elle sentait bien que cela pouvait mal se passer. La dernière fois, nous avions dû beaucoup l'aider. La dernière fois, avant l'opération relatée ici. Elle avait cependant tenu à éloigner ses rejetons de nous quelques jours plus tard. En vain puisque bien sûr, si nous conservions deux portées de cinq chatons par chatte, nous en serions davantage envahis que de souris. Ce que voyant, la troisième chatte, troisième par l'âge, qui avait, elle, pris la précaution de cacher sa portée sous une palette soutenant plusieurs sacs de ciment et empêchant qu'on les atteigne, entrepris de compenser. Je veux dire qu'en voyant sa grand mère soudain privée de ses enfants, elle a commencé à lui apporter les siens, à l'endroit même d'où les premiers avaient disparu, sous le tronc de châtaignier qui sert de banc près de l'entrée. Mais chatte échaudée craint l'eau froide comme on sait. Aussi la grand mère déménagea aussitôt la portée ressuscitée vers une autre cachette, sous un rocher dans la montagne. Ce que voyant, la troisième chatte, soucieuse sans doute de notre affection autant que de celle de sa parente, se mit en tête de les rapporter sous le châtaignier. Nous avons alors assisté à cet étrange manège de deux chattes emportant et remportant les mêmes chatons, et se croisant en route comme si rien n'était. C'était l'ode à la chatte solidaire et généreuse.

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Notre plus vieille poule, vous savez, celle qui a permis le retour du soleil le solstice dernier, est une battante, une survivante. Dès sa naturalisation dans la Principauté (elle est née chez nos voisins de la Confédération des États du Sud) elle se faisait remarquer. C'était la plus culottée. Ah, ces gens du sud ! Elle accourait toujours la première pour examiner ce que nous apportions à manger. C'était toujours la première à picorer le blé et pourtant. Et pourtant elle souffrait d'un handicap, la partie supérieure de son bec était plus court que l'inférieur. Nous l'avons baptisée la Prognathe. Picorer le grain lui demandait une extraordinaire adaptation. L'hiver suivant, notre poulailler subissait le massacre relaté ici.

Ce fut presque un génocide. Que dit la loi en matière ? (puisque nos députés jouent aux historiens). La Prognathe, je l'ai retrouvée cachée dans les framboisiers et lorsque j'ai plongé la main pour la saisir, ma main est entièrement entrée dans son dos. La blessure était béante, sur plus de dix centimètres. Et pourtant elle a survécu. Nous l'avons rebaptisée La Survivante. Quelques semaines après pourtant, sans doute le choc émotionnel, elle se mit à développer un goître qui lui déforma complètement le visage (voyez, moi aussi, je me laisse aller à prendre les bêtes pour des êtres humains). Nous aurions dû la sacrifier à ce moment-là mais le soleil était déjà revenu et nous avons cru en elle, même en la rebaptisant La Goîtreuse. Et de fait le goître finit par se résorber et la poule à mériter plus encore son surnom de survivante. Nous l'avons donc conservée bien après qu'elle eut cessé de pondre et malgré le blé qu'elle nous coûtait. C'était l'ode à la poule résistante et onéreuse.

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Montpoulet terrain de golf

Publié le par Les Malaugenoux

 

Participant toujours de notre effort à nous faire accepter du Commonwealth et donc à nous doter d’une culture britannique, après la conduite à gauche et la chasse au renard instituées l’an dernier, nous inaugurons cette année notre golf, un modeste pitch and putt pour commencer.

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Modeste mais retors. Avec nos pentes à dahuts, les golfeurs devront sans doute s’encorder avant de songer à frapper leur petite balle et la doter d’une petite ficelle en nylon solide pour le cas où elle dégringolerait jusque chez nos voisins d’en bas, la Confédération des Etats du Sud.

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Pour entretenir ces magnifiques greens le Service des Parcs et Jardins (« la PJ ») de la Principauté s'est dotée d'un nouvel engin...

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...qui soulève une épineuse question éthique dont nous débattrons une prochaine fois : « Le Yoga pouletmontois ne relève-t-il pas plutôt de la zénitude ultra-orientale ? »

 

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Nooooon mais !

Publié le par Les Malaugenoux

à M. le Directeur Commercial Régional d’EDF

EDF Service Clients - TSA 62222

69937 LYON CEDEX

 

OBJET : votre courrier de menace du 3 novembre, reçu ce jour même.

Vos références : YW06 - N.

Montpoulet le 8 novembre 2011,

  

Madame, Monsieur,

         Vous voudriez me jeter dans les bras de vos concurrents que vous ne vous y prendriez pas autrement.

         Ou alors c’est vraiment le bazar chez vous.

 Je résume :

Lors du relevé préalable à la facture d’octobre, on s’aperçoit que le compteur de mon domicile ne marche pas.

Le 4 octobre 2011, un technicien d’ERDF vient le changer et mon compte sur le site edf.fr affiche une facture négative.

Le 26 octobre un courrier d’ERDF daté du 19, parfaitement courtois je le reconnais, m’informe que, sans aucun autre élément de réflexion que ma consommation de l’année précédente, on estime celle de cette année à 3634 kWh, MAIS que j’ai « 15 jours ouvrés à réception du courrier » (soit en gros jusqu’au 15 novembre, dans une semaine !) pour « contester notre évaluation auprès de votre fournisseur ».

Le 29 octobre je conteste donc, documents à l’appui (achat d’un poêle cheminée alors que l’année précédente le chauffage était entièrement électrique), à la même adresse qu’en-tête de la présente.

 Le même jour, un courrier d’EDF, daté du 21 octobre (deux jours après celui d’ERDF), mais provenant du Havre, me prie de trouver une « facture relative à votre redressement » dont je prends note en jugeant qu’elle serait rectifiée au vu de ma contestation, même après prélèvement comme c’est le cas pour toutes mes factures depuis plusieurs décennies, mais qui ne comporte AUCUNE DATE LIMITE ni AUCUN AUTRE MODE DE PAIEMENT particulier.

 Aujourd’hui, soit à peine 8 jours ouvrés après réception de la facture contestée, votre dernier courrier me menace sans ambages de coupure à mes frais et, vous le comprenez aisément, me pousse à vous répondre que je possède un groupe électrogène de 5 kW qui me permettra de tenir le coup jusqu’à ce que je fasse mon choix parmi vos concurrents, dussiez-vous vous entêter à me traiter comme l’« usager » méprisable que je ne suis plus et non pas comme le « client » respectable que je suis devenu grâce aux accords européens.

 J’attire également votre attention que ces deux derniers courriers m’invitent, manifestement sans que quiconque ne se soit soucié de la pertinence de cette invitation, à consulter mon compte sur edf.fr. Je viens encore de le faire et j’ai encore constaté qu’il ne mentionne strictement rien de cette facture importune.

      Je vous prie d’agréer l’expression de mes salutations respectueuses quoique courroucées.

 

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Montpoulet paradis fiscal

Publié le par Les Malaugenoux

 

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  Cela fait longtemps qu’on nous le demande. Le seul terme de "Principauté" évoque aussitôt chez certains la perspective de gruger le fisc et d’éviter de contribuer au bien public, ce qui, comme on le sait maintenant bien mieux qu’avant, consiste à payer des intérêts aux banques dont nos gouvernements successifs, par leurs largesses tous azimuts, se sont rendus les débiteurs.

Alors nous acceptons. Nous, Bernard 1er Prince-Evêque de Montpoulet, Messycle de l’Église des Cataphotes Resplendissants, décidons de rémunérer les sommes qui nous seraient confiées à l’indice M (comme Madoff) + 10 par semaine. C'est-à-dire que pour 1000 Euros que l’épargnant nous remettrait, nous lui retournerions, dès la semaine suivante, le temps de vérifier que son chèque n’est pas en bois, du bois nous en avons déjà beaucoup, la somme de 1200 unités de monnaie du pape (UMP), en espèces.

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Chevaux et champignons

Publié le par Les Malaugenoux

Ce superbe été indien nous aura donc amené :

1- Ces drôles de fous caracolant sur leurs drôles de bicyclettes à pattes :

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qu'il ne suffit pas d'abreuver d'huile de rouage,

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qui nécessitent caresses,

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 encadrement électrique,

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et qui, lorsqu'elles repartent,

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vous laissent plein de petits cadeaux...

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dont le potager est friand.

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2-à nous baigner en octobre dans une eau à 22° et...

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3- à emmener de paisibles retraités,

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amateurs de grands espaces

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(il s'agit bien là, vu du Palais Principal,  de ce qui nous a coûté le plus cher, la... vue sur le Vercors, les Alpes et par temps TRÈS clair, sur Doulikhel, le col entre Katmandou et la frontière chinoise)

...à la chasse

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aux bolets, cèpes, chanterelles et girolles

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