Rage de dents et collapsologie-confinement, dernière touche.
Rage de dents et collapsologie confinement, dernière touche.
Il ne restait plus, écrivais-je, qu'à recouvrir de terre...
... et reconstruire un abri pour protéger ces six mètres-cube d'eau de la chaleur et du froid. Je commence donc à bâtir en pierres. Un muret éboulé tout près me les fournit.
Mur du fond puis petite voûte à l'avant avec coffrage-tronc pour ne pas écraser les tuyaux
Puis je tombai en panne de pierres et mon tracteur étant au garage pour réparation suite aux mauvais traitements précédents, je ne pouvais pas aller en quérir plus loin. Je terminai donc le sous-bassement du mur de l'avant, coulai un béton d'égalisation, le fis signer par une de nos chattes...
et avisant que j'avais sur place un autre type de matériau, le tronc du douglas abattu, je me résolus à faire du fustage. C'est cet art nordique qui permet de bâtir en bois ronds. J'en visionnai plusieurs tutoriels. Ils étaient tous soit en suédois soit en finnois, donc il me fallut d'abord apprendre ces deux langues avec d'autres cours en ligne.
Naaaan, les images suffisaient. D'abord creuser une saignée dans le bois... pour lui faire, en quelque sorte, deux pieds, puis empiler.
Et puis poser un toit à partir des fameuses surbilles auxquelles il a déjà été fait allusion...
...et « végétaliser » ce toit :
Un charmant petit pavillon de chasse pour finir, non ?
