Un tapis de pissenlits
C'est en effet ce que pense René Barjavel (écrivain drômois, un voisin donc, 1911-1985) :
Les individus vivants, milliards d'hommes, de mouches ou de pissenlits, ne sont que des véhicules. La vie se fait porter par eux à travers le temps et l'espace.
Et j'ajoute : pour traverser les pentes abruptes de Montpoulet, elle a intérêt en effet à suivre les chemins, la vie, pour ne pas se retrouver cul par dessus tête deux cents mètres plus bas !