Un pro à Montpoulet
Quand un photographe professionnel passe par Montpoulet, cela donne forcément des clichés étonnants, auxquels
personne n'aurait pensé, et que lui seul pouvait créer, de véritables oeuvres d'art, les seules qui puissent honorer la Principauté. Elles sont signées Jean-Yves Arnaud, reporter-photographe
honoraire du quotidien La Montagne.
D'abord, l'arrivée de nuit, à la lumière articielle des ampoules classiques dévoreuses d'énergie mais productrices de chaleur, à tous les sens du terme :
(c'est le grand escalier à la salamandre qui amène sur l'aître traditionnel)
(le plancher est en "plateaux" de sapin, le pilier est un douglas rond et au fond, encore oisif malgré l'apparence, c'est le noyer creux qui avait, avant la restauration, pris possession de la Méjou)
Derrière la porte d'entrée, un des anciens "tetchous" à cochons,
(l'accueil est assuré par Bernard et Roger)
et, immédiatement à gauche, Françoise règne sur la cuisine aux plans de travail en granite, comme la montagne de Montpoulet.
La grande salle à manger est l'ancienne partie agricole, la cuisine au fond occupant une partie de l'ancienne étable. Le grand bois rond qui barre le haut...
est un sapin Douglas courbé (par quelque chevreuil avant qu'il ait eu dix ans) qui sert d'arbalétrier à la toiture :
et introduit au deuxième "tetchou", transformé en salon depuis les premiers jours de la reconstruction :
(il paraît que le cuir des fauteuils est celui des taureaux des affiches !)
A l'étage, la guide présente sa mezzanine tout bois,
et sa bibliothèque pierres et toile de verre :
Il ne reste plus qu'à prendre l'apéritif au bar et à passer à table; les photos des plats, par le même artiste, feront le menu du prochain article.
D'abord, l'arrivée de nuit, à la lumière articielle des ampoules classiques dévoreuses d'énergie mais productrices de chaleur, à tous les sens du terme :
(c'est le grand escalier à la salamandre qui amène sur l'aître traditionnel)
(le plancher est en "plateaux" de sapin, le pilier est un douglas rond et au fond, encore oisif malgré l'apparence, c'est le noyer creux qui avait, avant la restauration, pris possession de la Méjou)
Derrière la porte d'entrée, un des anciens "tetchous" à cochons,
(l'accueil est assuré par Bernard et Roger)
et, immédiatement à gauche, Françoise règne sur la cuisine aux plans de travail en granite, comme la montagne de Montpoulet.
La grande salle à manger est l'ancienne partie agricole, la cuisine au fond occupant une partie de l'ancienne étable. Le grand bois rond qui barre le haut...
est un sapin Douglas courbé (par quelque chevreuil avant qu'il ait eu dix ans) qui sert d'arbalétrier à la toiture :
et introduit au deuxième "tetchou", transformé en salon depuis les premiers jours de la reconstruction :
(il paraît que le cuir des fauteuils est celui des taureaux des affiches !)
A l'étage, la guide présente sa mezzanine tout bois,
et sa bibliothèque pierres et toile de verre :
Il ne reste plus qu'à prendre l'apéritif au bar et à passer à table; les photos des plats, par le même artiste, feront le menu du prochain article.